Alors que le bras de fer en méditerranée orientale continue, et que le jeu d'influence en Libye se poursuit, le président Erdogan décide subitement de calmer le jeu. Le chef de l’État turc appelle désormais à remettre sur les rails les relations avec l'UE. Comment cet acte d'apaisement est-il accueilli au sein de l'Union européenne ? Une normalisation est-elle possible ? Éléments de réponse avec le sénateur et ancien ministre français, Jean-Marie Bockel.