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Près d’une semaine après les tremblements de terre de Kahramanmaras et de Gaziantep qui ont fait plus de 25 000 morts, la crise entre dans une deuxième phase : l’organisation de l’aide humanitaire.
L’État centralise les ressources via son organisme, l’AFAD, mais faute de capacité suffisante pour faire face à l’ampleur du désastre, les lacunes de coordination se font cruellement sentir sur le terrain. A Diyarbakir, le reportage de Céline Pierre-Magnani.