L'Algérie est toujours sous tension! À 48 heures de l'ouverture de la campagne de la présidentielle du 12 décembre, la rue maintient la pression contre un scrutin destiné selon elle à régénérer un "système" dont les protestataires veulent se débarrasser.
Après avoir obtenu en avril le départ d'Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 20 ans, la contestation refuse de s'essouffler. La mobilisation était encore massive pour ce 39e vendredi consécutif, malgré la pluie.